Permets d'augmenter ou diminuer des choses. Le contraire d'un échec est une réussite.

En fonction des situations, le personnage peut se chopper un désagrément ou une grosse merde.

Pour les joueurs qui n'ont pas peur de vivre la vie de leur personnage en racontant ses échecs. Chaque point de pouvoir dépensé par le joueur est alors considéré comme une échec. De plus … chaque échec vaudra non pas 1d6 à mettre dans le pot commun, mais 2! Le joueur reste libre de prendre ou d'aggraver un désagrément.

Un jet de dés est raté lorsque la différence entre le score (ou la combinaison) testé et le résultat du d20 est NÉGATIVE. Dans le sens SCORE - D20.

Dés le premier point le joueur obtient un échec. + 1 pour chaque tranche de 5 points.

Exemples :

• score de 7, d20 donne un 13, la différence est de -4, cela fait 1 échec.
• score de 7, d20 donne un 12, la différence est de -5, cela fait 1 échec.
• score de 7, d20 donne un 11, la différence est de -6, cela fait 2 échecs.
• score de 7, d20 donne un 18, la différence est de -11, cela fait 3 échecs!
• score de 7, d20 donne un 6, la différence est de 1, cela fait 1 réussite.

Il est a noté que dans ce jeu, un joueur en échec «génère» un d6 pour chaque échec qu'il obtient. Libre à lui d'accepter ou de refuser son échec.

Si il accepte il donne les d6 qu'il génère au pot commun. En général un joueur qui accepte son échec et qui le raconte peut espérer éviter que le conteur lui inflige un désagrément ou une diminution d'addon. Bien que cela dépende toujours de la situation jouée.

Si il refuse, il peut les lancer et, en fonction du mode de jeu, les compléter avec des d6 qu'il peut puiser du pot commun. Si par malheur après avoir refuser l'échec, les d6 lancés ne lui permettent pas d'obtenir une réussite, le conteur insistera pour lui infliger un désagrément ou une diminution d'addon. Bien que cela dépende toujours de la situation jouée.

Les trucs temporaires, le pot commun et le mode de jeu peuvent aider les joueurs dans leur tâches.